En finale au Stade Santiago Bernabéu, l’Italie remporte son troisième titre de champion du monde en battant la RFA, 3-1. Auteur d’un nouveau but, Paolo Rossi termine meilleur buteur du tournoi avec six réalisations, nouveau maillot om et sera Ballon d’or à la fin de l’année. L’ex-stéphanois Bathenay rejoint le club en 1978 et devient le chef de la défense parisienne et le capitaine de l’équipe jusqu’en 1985. Mais c’est en 1980 que le club réussit son transfert le plus tonitruant en recrutant l’autre idole du football français (après Michel Platini), l’« Ange Vert » Dominique Rocheteau, meilleur attaquant français de l’époque. 2014-2015 : Malgré une bonne saison conclue avec une 6e place, le club est placé en liquidation judiciaire et se voit rétrograder administrativement en DHR, septième niveau français. Mickaël Rodrigues, champion d’Europe des moins de 18 ans 1996 aux côtés des Gallas, Silvestre, Anelka, Henry et Trezeguet, vient terminer sa carrière en 2006-2007 à Blois en CFA 2. Le sénégalais Issa Cissokho revient au club pour la saison suivante, après y avoir été formé. De la saison 2013/2014 à la saison 2015/2016, Ma chaine sport diffusait 1 match par journée et 3 en mini-multiplex les deux dernières journées. L’Italie commence son tournoi par un match nul et vierge face au Danemark puis se fait rejoindre au score dans son deuxième match face à la Suède (1-1). La victoire contre la Bulgarie (2-1) est insuffisante : en effet, le match nul (2-2) entre la Suède et le Danemark, avec une égalisation suédoise à la 89e minute, permet aux deux équipes de se qualifier pour le tour suivant.
Après un été de fête, Roberto Donadoni se voit confier la sélection en vue de l’Euro 2008. L’Italie retrouve la France en qualification. Avec une génération de joueurs comme Paolo Maldini, Roberto Baggio, Roberto Donadoni plus un joueur « surprise » qui saura briller le temps d’une coupe du monde, Salvatore Schillaci, l’Italie réalise un parcours quasi parfait jusqu’en demi-finale. En quart de finale, l’Italie dispute avec l’Angleterre un match haletant, mais sans but, que la Squadra Azzurra remporte aux tirs au but. Elle est battue d’entrée par l’Irlande 0-1, avant de battre difficilement la Norvège (1-0) et de concéder le match nul contre le Mexique(1-1). Malgré cet échec, elle devance lors des éliminatoires l’Irlande et la Bulgarie et se qualifie pour le Mondial sud-africain. Elle y hérite du « groupe de la mort », composé de la Roumanie, des Pays-Bas et de la France, encore. La malédiction des tirs au but se répète pour la troisième Coupe du monde d’affilée en 1998, en France, à laquelle les Italiens se qualifient après un barrage difficile contre la Russie. Lors de l’Euro 2000, l’Italie, entraînée par Dino Zoff, semble mettre fin à sa « malédiction » en remportant enfin une épreuve de tirs au but, en demi-finale contre les Pays-Bas, qui avaient manqué deux pénaltys au cours du match.
La France entre timidement dans ces qualifications en faisant un match nul en Biélorussie (0-0) avant de se rassurer en enchaînant quatre victoires consécutives face aux autres équipes du groupe. Pour lui, comme pour Bearzot, très critiqué avant le Mondial, c’est une revanche éclatante. Malgré une défaite au Stade de France (1-3), elle reprend avec autorité la première place du groupe et se qualifie pour le tournoi. 72 28 juin 1998 Stade Bollaert, Lens, France Paraguay V 1 – 0 b.e.o Huitième de finale de la Coupe du monde 1998 Titulaire et buteur. Elle est cette fois, battue par la France (2-0), en huitièmes de finale. Cette victoire leur permet de se qualifier directement pour la prochaine édition de la Coupe de la confédération mais aussi de disputer la Supercoupe de la CAF contre le vainqueur de la Ligue des champions, maillot de l’om le club égyptien d’Al-Ahly SC. Elle ne parvient pas à se qualifier pour l’Euro 1984 en terminant 4e de sa poule de qualification avec une seule victoire (sur Chypre) en huit matchs. La situation financière est toujours autant précaire et sur les terrains les choses ne se passent pas mieux.
Je n’étais pas sûre d’avoir deux fois cette opportunités. Cette partie oppose deux formations en délicatesse dans leur championnat respectif, avec le maintien comme principale préoccupation. Cette série d’éliminations se poursuit lors de l’Euro 1996, au cours duquel l’Italie est éliminée au premier tour. L’Italie doit l’emporter face à la Slovaquie pour continuer l’aventure. Ukraine (3-0); à l’issue d’un match de grande qualité face à l’Allemagne, le pays hôte, en demi-finale à Dortmund. L’Italie retrouve lors du dernier match le Brésil. L’Italie domine sans contestation son groupe éliminatoire pour l’Euro 2012. Elle bat notamment les îles Féroé cinq buts à zéro, un écart qui n’avait plus été atteint depuis 23 ans. Elle se défait de la Pologne en demi-finale (2-0, deux nouveaux buts de Rossi). Elle se rassure en battant le Nigeria, équipe surprise du premier tour, après prolongation (2-1), et poursuit sa route jusqu’en finale en battant l’Espagne en quart de finale (2-1) et la Bulgarie en demi-finale (2-1). Roberto Baggio, un des meilleurs joueurs de l’histoire du football italien, Ballon d’or 1993, joue un rôle prépondérant en marquant cinq des six buts italiens lors de ce tournoi.
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